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Les logiciels-espions de la police inquiètent...

 
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Kristo



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MessagePublié le: Sam 25 Juil 2009, 12:55    Sujet du message: Les logiciels-espions de la police inquiètent... Répondre en citant

Les logiciels-espions de la police inquiètent les gardiens des libertés

LE MONDE 24.07.09
Article paru dans l'édition du 25.07.09.

Les logiciels-espions de la police, introduits à distance dans l'ordinateur d'une personne sans son consentement, inquiètent. Dans un avis qu'elle devait rendre public vendredi 24 juillet - appliquant ainsi pour la première fois la loi du 12 mai sur la clarification du droit -, la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) réclame des garanties sur leur utilisation. En utilisant l'image d'un "coffre-fort logique", elle suggère de limiter l'usage de ces outils pour qu'ils ne soient pas à la disposition d'un trop grand nombre de fonctionnaires sans l'autorisation d'un juge.

La reconnaissance légale de ces logiciels figure dans le projet de loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure (Loppsi II). Il doit être débattu à l'Assemblée nationale à la fin de l'année et définit, pour la période 2009-2013, les moyens alloués à la police. Ce texte ajoute dans le code pénal dix nouveaux articles sur la "captation des données informatiques en matière de criminalité organisée". Sous le contrôle d'un juge dans le cadre d'une information judiciaire, ces intrusions permettront aux policiers, "sans le consentement des intéressés, d'accéder à des données informatiques, de les observer, les collecter, les enregistrer, les conserver et les transmettre". Les lieux privés ou publics, comme les cybercafés, sont concernés.

Ces logiciels sont déjà bien connus des hackers (pirates) et de certaines officines de renseignement privées, qui n'ont pas hésité à s'en servir. En témoigne l'affaire d'espionnage de Greenpeace, qui a éclaté en avril, dans laquelle EDF est soupçonnée d'être le commanditaire.

Pour la CNIL, ces dispositions présentent un "caractère particulièrement sensible", car elles instituent "une importante exception" aux principes de la loi du 6 janvier 1978 relative à la protection des données personnelles, et doivent donc être "proportionnées au but poursuivi". En Allemagne, relève la CNIL, la Cour constitutionnelle fédérale a limité, en 2008, les intrusions policières à des situations de "menace concrète" en matière d'enlèvement, de meurtre ou d'"atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation". En France, l'utilisation potentielle de ces nouveaux outils est plus large.

La CNIL pointe l'impossibilité de réaliser un tri, dans la collecte des informations, "entre ce qui est utile ou non à la manifestation de la vérité". Les logiciels-espions sont ainsi faits qu'ils peuvent tout lire, que les données empruntent ou non un réseau de communication électronique. En clair, tout ce qui apparaît à l'écran peut être capté, y compris ce qui vient d'une clé USB. La Commission souligne ainsi "la portée" du projet "qui pourrait permettre l'enregistrement, pendant une durée d'au plus huit mois, de tous les caractères saisis au clavier, et de toutes les images affichées sur l'écran de tous les ordinateurs d'un point d'accès public à Internet et ce, à l'insu des utilisateurs".

Surtout, la CNIL s'est inquiétée de la collecte de données venant de personnes ou de lieux "habituellement" protégés, tels que les cabinets d'avocat, de médecin, d'huissier, ou les locaux d'un journal, via des ordinateurs portables notamment. La rédaction du projet de loi "permettrait de collecter des données transitant sur des systèmes utilisés par des personnes protégées par le législateur en raison des secrets particuliers liés à l'exercice de leur profession, ou de les collecter dans les lieux de travail ou domiciles de ces dernières", écrit-elle. Sur ce point, la CNIL, selon son secrétaire général, Yann Padova, aurait obtenu des garanties du gouvernement. Enfin, l'utilisation des logiciels espions étant soumise à l'autorisation d'un juge d'instruction, la Commission "s'interroge sur l'impact éventuel " de la réforme de la procédure pénale qui pourrait aboutir à la disparition dudit juge...

FICHIERS ÉTENDUS

Consultée sur d'autres articles de la Loppsi II, la CNIL s'est émue, en particulier, de l'extension de fichiers de police d'analyse sérielle, comme le fichier Salvac, créé en 2003 après les crimes de Michel Fourniret pour collecter et recouper les informations sur les tueurs en série, "à la petite et moyenne délinquance de masse". La Commission a constaté que l'usage des analyses sérielles serait étendu à des infractions moins graves, encourant des peines d'une durée de cinq ans d'emprisonnement. Les vols en récidive entreraient ainsi dans cette catégorie.

En outre, le champ de la collecte des données personnelles est étendu, dans le projet de loi, à toutes les personnes dont l'identité est citée dans une procédure judiciaire, qu'il s'agisse de l'entourage de personnes mises en cause ou de simples témoins cités dans les procès-verbaux. "Les fichiers d'analyse prendront une ampleur nouvelle, qui en change la nature, car ils ne seront plus limités aux infractions les plus graves", s'insurge la CNIL dans son avis, en se disant "extrêmement réservée sur la mise en oeuvre d'une telle extension"."Cela revient à faire du profilage, c'est un enjeu très lourd", explique son secrétaire général Yann Padova pour qui, cette méthode d'enquête, en vogue aux Etats-Unis, met à mal la notion de présomption d'innocence en présupposant que des individus cités, cumulant plusieurs caractéristiques, risquent de commettre un crime ou un délit. Mais là encore, selon M. Padova, le gouvernement serait revenu en arrière.

Les fichiers seront en outre ouverts à un plus grand nombre de destinataires. Au même titre que les policiers et les gendarmes, la douane judiciaire accédera aux informations des fichiers d'analyse sérielle. De même, le projet de loi envisage que l'administration pénitentiaire soit destinataire du fichier judiciaire national automatisé des auteurs d'infractions sexuelles (Fijais) lors de la mise sous écrou d'une personne. Il est prévu que les officiers de police judiciaire accèdent à ce fichier créé en 2004, sans le contrôle préalable d'un magistrat. Or la CNIL "ne souhaite pas voir remise en cause" cette autorisation "au regard du caractère extrêmement sensible et spécialisé de ce fichier".

Comme elle l'avait fait au mois de janvier lors de la remise de son rapport de contrôle sur le plus gros fichier de police, le STIC (Système de traitement des infractions constatées), la Commission rappelle son souhait de voir modifier la loi pour permettre les mises à jour des fichiers et l'effacement des données qui persistent même lors d'absence d'infraction constatée ou de classement sans suite.
Isabelle Mandraud

.............................

Un avis qui ne porte que sur sept articles du projet de loi


Saisie pour avis par le ministère de l'intérieur sur le projet d'orientation et de programmation de la sécurité intérieure, la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) s'est penchée sur le texte dès le 16 avril. Mais elle n'a pu le faire que dans le périmètre de sa saisine, 7 articles, alors que le projet de loi en contient plus de 40. Elle n'a pu ainsi se prononcer sur l'équilibre général ni même sur les nouvelles dispositions relatives à la vidéosurveillance, dont une partie pourra être déléguée à des partenaires privés. A la demande du président de la commission des lois de l'Assemblée, Jean-Luc Warsmann, l'avis de la CNIL est pour la première fois rendu public. Avant la loi du 12 mai sur la clarification du droit, cela restait confidentiel.



Cyber Brother - Edito du Monde

LE MONDE 24.07.09

Big Brother vous regarde." Le cauchemar totalitaire décrit, en 1948, par George Orwell dans 1984 n'est pas encore une réalité. Mais on assiste à une extension du profilage des citoyens, très inquiétante au regard des libertés. Les logiciels-espions de la police se banalisent. Cyber Brother s'installe chez vous, dans notre vie privée. Le projet de loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure (Loppsi II), qui sera débattu en fin d'année, va permettre à la police, dans le cadre d'une information judiciaire et "sans le consentement des intéressés", d'accéder à "des données informatiques, de les observer, les collecter, les enregistrer, les conserver et les transmettre". Pas moins.

Ces intrusions policières dans les ordinateurs ne pourront, certes, s'opérer que sous le contrôle d'un juge. Mais qu'en sera-t-il de ce garde-fou lorsque la réforme de la procédure pénale aura abouti à la suppression du juge d'instruction ? La Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) s'en inquiète à juste titre. Face à des logiciels-espions qui ne connaissent pas de frontières, elle imagine un "coffre-fort" qui mettrait de côté les données recueillies par la police, les protégeant d'un abus de regards indiscrets. Est-ce vraiment rassurant ?

Dans un avis rendu public vendredi 24 juillet, la CNIL s'alarme du "caractère particulièrement sensible" des dispositions de Loppsi II ; elle y voit "une importante exception" aux principes de la loi du 6 janvier 1978 relative à la protection des données personnelles. Elle recommande que les cyber-investigations policières soient strictement "proportionnées au but poursuivi".

La CNIL fait son métier. Mais, hélas, nombre de précédents contredisent ses sages recommandations. Avec le système de traitement des infractions constatées (STIC), la police peut déjà répertorier toute personne ayant été concernée par une procédure judiciaire - qu'elle soit mise en cause, victime ou blanchie après une mise en examen ! Près de 6 millions de personnes sont touchées. Et si la fusion projetée avec le fichier électronique tenu par la gendarmerie intervient, le champ sera encore plus large. L'extension de fichiers de police d'analyse sérielle, créés pour collecter des informations sur les tueurs en série, à "la petite et moyenne délinquance de masse" est maintenant envisagée.

Où est la limite à ces intrusions dans la vie des Français ? Nous sommes prévenus : Big Brother est là, tout près.
Article paru dans l'édition du 25.07.09.
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MessagePublié le: Dim 21 Fév 2010, 1:29    Sujet du message: Répondre en citant

Ca y est c'est voté ! Vive la liberté !
On pourra être fliqué chez soi, sous contrôle d'un juge d'instruction. Ca tombe bien, il va être supprimé.


Comment la Loppsi légalise l'espionnage des ordinateurs

Par François Krug - Eco89 - 10/02/2010



C'est une mesure radicale, perdue dans le fourre-tout de la Loppsi : la loi sur la sécurité autorise la surveillance des ordinateurs. La police pourra s'introduire discrètement chez les suspects pour installer des mouchards. Pour le gouvernement, ce n'est qu'une modernisation des écoutes téléphoniques.

« Mouchards », « logiciels espions »… le gouvernement évite prudemment les mots qui font peur. Le texte de la Loppsi évoque pudiquement la « captation des données informatiques » :

« Un dispositif technique ayant pour objet, sans le consentement des intéressés, d'accéder, en tous lieux, à des données informatiques, de les enregistrer, les conserver et les transmettre, telles qu'elles s'affichent sur un écran pour l'utilisateur d'un système de traitement automatisé de données ou telles qu'il les y introduit par saisie de caractères. »

Affaires de vol, drogue, proxénétisme ou immigration clandestine

En clair, la police sera autorisée à surveiller tout ce qui se passe sur l'ordinateur des suspects : tout ce qu'ils tapent sur leur clavier, des e-mails aux chats, tous les sites qu'ils consultent, tous les fichiers qu'ils téléchargent.

Voici exactement ce que prévoit l'article 23 de la Loppsi, qui autorise cette « captation des données informatiques » :

* Qui est visé ? Pas seulement les terroristes présumés, mais toutes les personnes suspectées de crimes en « bande organisée », qu'il s'agisse de vols, de trafic de drogue, de proxénétisme ou encore d'aide à l'immigration clandestine.

* Comment ça marchera ? Pour installer les mouchards, la police pourra discrètement s'introduire au domicile du suspect, dans sa voiture ou dans n'importe quel local, et à toute heure (sans les limites imposées aux perquisitions qui ne sont autorisées, hors affaires de terrorisme, qu'entre 6 heures et 21 heures).

La loi ne précise pas les outils informatiques utilisés (« cheval de Troie », surveillance en amont au niveau du fournisseur d'accès…).

* Combien de temps ça durera ? La surveillance durera quatre mois au maximum, mais pourra être renouvelée pour la même durée « à titre exceptionnel », si l'enquête l'exige.

* Quelles sont les garanties prévues ? L'opération ne sera menée que par des officiers de police judiciaire, elle devra être autorisée par un juge d'instruction et dument motivée. Si elle est menée au domicile du suspect, une autorisation d'un juge des libertés et de la détention sera également nécessaire.

Les informations sur la vie privée qui ne concernent pas l'enquête ne pourront pas être conservées. Comme pour les écoutes téléphoniques, les avocats, les magistrats et les parlementaires sont protégés.

« La seule garantie, c'est le juge d'instruction… qu'on va supprimer »

Des garanties qui ne garantissent rien, s'insurge Jean-Pierre Dubois, président de la Ligue des droits de l'homme. L'autorisation du juge d'instruction ne suffit pas, et la criminalité en « bande organisée » est une notion trop floue, a-t-il expliqué à Rue89 :

« La seule garantie présentée par le gouvernement, c'est que ce sera sous le contrôle du juge d'instruction. On veut justement supprimer le juge d'instruction, donc c'est une garantie post mortem…

Il faut confier ça à une autorité judiciaire indépendante, et fixer des limites sur les types d'affaires concernées. Là, la police peut le faire pour n'importe quoi et pour n'importe qui. »

Pour le gouvernement, le texte ne fait qu'adapter à Internet le principe des écoutes téléphoniques. En somme, c'est une simple modernisation des techniques policières. Pour Jean-Pierre Dubois, cette surveillance des ordinateurs ouvre en fait la voie à « un contrôle social total » :

« On a déjà des caméras dehors, on aura des mouchards sur les ordinateurs, la prochaine étape ce sera une caméra dans la salle de bains. »



LOPPSI : l'installation de mouchards chez les suspects est adoptée

Guillaume Champeau - publié le Jeudi 11 Février 2010 - Numerama

Sous l'autorité et le contrôle du juge d'instruction qui devra motiver son ordonnance, les autorités de police pourront désormais installer des mouchards sur les ordinateurs des suspects de nombreux crimes et délits. Cependant les garde-fous seront vains lorsque le juge d'instruction sera supprimé, comme le prévoit le gouvernement.

Les députés ont adopté jeudi presque sans débat l'article 23 du projet de loi Loppsi qui prévoit de donner aux officiers et agents de police judiciaire la possibilité de pénétrer chez les suspects de crimes et délits pour installer des mouchards sur leur système informatique. Ces mouchards doivent permettre à la police de voir et d'enregister à distance les données "telles qu'elles s'affichent sur un écran pour l'utilisateur d'un (ordinateur) ou telles qu'il les y introduit par saisie de caractères".

Pour le gouvernement, il s'agit d'adapter à l'ère informatique les dispositifs d'écoute téléphonique. C'est particulièrement utile dans le cas de communications chiffrées qu'il serait trop coûteux ou long de déchiffrer dans le cas d'une captation à distance éventuellement réalisée via les routeurs du fournisseur d'accès à Internet.

En soit, il est difficile de reprocher au gouvernement de vouloir surveiller y compris les communications électroniques des personnes suspectées de préparer des crimes ou délits très graves pour la sécurité publique. Cependant les députés de l'opposition ont pointé du doigt l'étendue des cas où une telle surveillance pourra être opérée. Il s'agit de tous les crimes et délits listés à l'article 706-73 du code de procédure pénale, qui vise notamment le fameux "délit de solidarité" (l'aide apportée à un étranger en situation irrégulière), ou encore la "non-justification de ressources correspondant au train de vie". Le gouvernement a refusé de faire des exceptions.

Le dispositif est "prévu pour lutter contre l'ensemble des infractions commises en bande organisées, sans exclusive", a ainsi insisté Brice Hortefeux. De son côté le rapporteur Eric Ciotti (UMP) a demandé à ce que l'on fasse "confiance au juge d'instruction" pour encadrer les cas où l'installation des mouchards pourra être autorisée. Mais c'est oublier que le gouvernement prévoit justement la suppression du juge d'instruction, ce qui donnera au Procureur de la République seul le pouvoir d'encadrer ces dispositifs. Or le procureur est dépendant du parquet, qui répond à la Chancellerie.
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MessagePublié le: Mer 24 Fév 2010, 18:05    Sujet du message: Répondre en citant

Microsoft veut enrayer la diffusion de son logiciel COFEE dédié à Interpol



Numerama - Jeudi 26 Novembre 2009

Microsoft a envoyé des mises en demeure à plusieurs sites qui proposaient en téléchargement une copie du logiciel COFEE exclusivement réservé aux autorités de police. Le logiciel reste toutefois largement diffusé sur les réseaux P2P, ce qui rend sa suppression totalement illusoire.

http://www.numerama.com/magazine/14587-microsoft-veut-enrayer-la-diffusion-de-son-logiciel-cofee-dedie-a-interpol.html



Fuite d'un logiciel des agences de polices sur internet

13 nov 2009
COFEE (Computer Online Forensic Evidence Extractor) est un petit logiciel de récupération de preuve numérique. Jusque là réserve aux services de police et agences gouvernementales, une fuite s'est produit et le binaire est en liberté sur la toile.

http://www.sicw-news.com/2009/11/fuite-dun-logiciel-des-agences-de.html



MS COFEE : l'outil pour cyberpoliciers repéré sur la Toile
10/11/2009

Le logiciel Microsoft permettant aux cyberpoliciers de se confectionner une clé USB leur donnant accès à certaines données sensibles d'un ordinateur, a été victime d'une fuite sur la Toile.

http://www.generation-nt.com/microsoft-cofee-securite-cle-usb-enquete-police-actualite-906001.html



Decaf, une parade contre Cofee, la clé passe-partout des cyber-policiers

Deux hackers ont profité de la fuite de l'utilitaire Cofee, fourni par Microsoft aux services de police, pour lancer une solution qui en bloque les effets.

http://pro.01net.com/editorial/509998/decaf-une-parade-contre-cofee-la-cle-passe-partout-des-cyber-policiers/



Télécharger Decaf :
http://decafme.org



Cofee, le logiciel policier boit la tasse

27-12-2009

Depuis quelques jours, le logiciel policier Cofee est diffusé sur Internet. Une contre-mesure pirate suit la diffusion de l´expert de Microsoft.

http://www.zataz.com/news/19772/Cofee_-le-logiciel-policier-boit-la-tasse.html



Microsoft COFEE : l’outil ultime de Microsoft piraté

09/11/2009
http://www.infos-du-net.com/actualite/16207-microsoft-cofee-pirate.html



Computer Online Forensic Evidence Extractor (COFEE)

http://www.microsoft.com/industry/government/solutions/cofee/default.aspx
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Old York



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MessagePublié le: Mar 27 Avr 2010, 10:47    Sujet du message: Répondre en citant

ça craint parce que tout le monde peut etre fiché en particulier ceux inscrit à un forum qui a un nom un peu louche comme "désobéissants " Wink
Quant la loi sera-t-elle appliquée ?
Est- ce que quelqu'un connait des logiciels pour contrer ça ?
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